Morrigan, selon mon père c'était une entité divine que vénérait autrefois les sorciers et druides. Une divinité déchue. Morrigan signifie « Grande Reine ». Déesse dite guerrière, elle n'est pas essentiellement une combattante, mais procéder à la qualification des sorciers. Détentrice des savoirs, elle était notamment sous la forme d'une corneille, l’annonciatrice des destins. Elle apparaissait parfois comme un vol de trois corneilles ou comme un corbeau. Maintenant, peu de personne se souviennent d'elle et plus personne y croit.

Je suis un peu comme cette divinité oubliée, combattante, je sais aussi de nombreuses choses, je vois l'avenir en songe mais, je le révèle à très peu de personne. Je n'aime pas vraiment ce que je suis mais, je ne peux pas résister à mes pulsions, j'aime apprendre tout ce qui est attrait à la magie, j'aime repousser mes limites, œuvrait dans l'ombre, je pense que j'ai deux caractères différents, je suis versatile et je donne cette apparence de Morrigan, sorcière associable, têtue et sombre. Pourtant, ma véritable nature est tout autre.

«L'eau bénite ne peux pas t'aider maintenant
Un millier d'armées n'ont pas pu me retenir
Je ne veux pas de ton argent
Je ne veux pas de ta couronne
Vois, je suis venue pour brûler ton royaume

L'eau bénite ne peux pas t'aider maintenant
Vois, je suis venue pour brûler ton royaume
Et aucune rivière et aucun lac
Ne pourront éteindre le feu
Je vais augmenter les enjeux
Je vais te réduire en fumée

Sept démons tous autour de toi
Sept démons dans ma maison
Vois-tu, ils étaient là quand je suis réveillée ce matin
Je serai morte avant que le jour soit fini

Sept démons tous autour de toi
Sept démons dans ta maison
Vois-tu, j'étais morte quand je me suis réveillée ce matin
Et je serai morte avant que le jour soit fini

Et maintenant tout ton amour sera exorcisé
Et nous verrons que tes dires ne sont que paradoxes
Et c'est une somme égale
C'est une mélodie
C'est un cri de guerre
C'est une symphonie

Sept démons tous autour de toi
Sept démons dans ma maison
Vois-tu, ils étaient là quand je suis réveillée ce matin
Je serai morte avant que le jour soit fini

Sept démons tous autour de moi
Sept démons dans ta maison
Vois-tu, j'étais morte
Quand je me suis réveillée ce matin
Et je serai morte
Avant que le jour soit fini

Ils peuvent me garder en vie
Jusqu'à ce que je déchire les murs
Jusqu'à ce que je mette vos cœurs en esclavage
Et qu'ils prennent vos âmes
Qu'avons-nous fait?
Cela peut il être annulé ?
Dans le cœur du diable
Dans l'âme du diable

Sept démons tous autour de moi
Sept démons dans ta maison
Vois-tu, j'étais morte
Quand je me suis réveillée ce matin
Et je serai morte
Avant que le jour soit fini »

Freyja: signifie « maîtresse, dame, femme ». Mon frère et ma mère me nommaient " Freyja" car, j'étais enfant joyeuse, espiègle et heureuse. Il n'existait pas de bonheur plus fort que le mien. J'avais tout pour être heureuse, une famille et un toit. Tout s'écroula lorsque la mort s’abattit sur notre maison. Ma véritable nature est ainsi, je suis joyeuse, charmeuse et souriante, j'aime la joie de vivre et pourtant, la Freyja qui est en moi se laisse souvent évincer par la Morrigan. Pour ne pas souffrir de nouveau, pour ne pas s'attacher, pour ne pas montrer ses faiblesses. Personne ne sait qui je suis réellement exception de mon père et peut-être Aldric mais, ce dernier ne m'a jamais connue ainsi, seul mon père est témoin de Freyja la douce, Freyja la joyeuse, celle qui rie pour un oui, pour un non, qui pleure pour un bonheur, pour une tristesse.

«Seigneur de ta beauté mon âme s'est éprise
Je veux te prodiguer mes parfums et mes fleurs
En les jetant pour toi sur l'aile de la brise
Je voudrais enflammer les cœurs

Jeter des fleurs, c'est t'offrir en prémices
Les plus légers soupirs, les plus grandes douleurs
Mes peines et mes joies, mes petits sacrifices
Voilà mes fleurs

Les pétales des fleurs, caressant ton visage
Te disent que mon cœur est à toi sans retour
De ma rose effeuillée, tu comprends le langage
Et tu souris à mon amour

Jeter des fleurs, redire tes louanges
Voilà mon seul plaisir, en la vallée des pleurs
Au ciel j'irai bientôt avec les petits anges
Jeter des fleurs

Les pétales des fleurs, caressant ton visage
Te disent que mon cœur est à toi sans retour
De ma rose effeuillée, tu comprends le langage
Et tu souris à mon amour

Jeter des fleurs, redire tes louanges
Voilà mon seul plaisir, en la vallée des pleurs
Au ciel j'irai bientôt avec les petits anges
Jeter des fleurs

Jeter des fleurs, c'est t'offrir en prémices
Les plus légers soupirs, les plus grandes douleurs
Mes peines et mes joies, mes petits sacrifices
Voilà mes fleurs... »

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Freyja Nomencis