Book of Shadows

Nom : Osbern
Prénom : Frost
Age : environ 2000 ans
Race : Elfe albinos
Camp: Le mien
Sexe : Homme
Rang: Empereur
Profession : Mage runique, Nécromancien
Métier : Forgeron d'armes

Une page d'histoire s'écrit

Les seigneurs les plus connus de ce monde ne sont sans doute pas ceux qui ont vécu dans la haine et la guerre incessante. La vie était un combat, tout du moins lorsque je n'était que fils de l'empereur. Jadis, lorsque je n'était qu'un enfant, je n'aurais jamais imaginé qu'un jour je puisse être le dernier détenteur des secrets du nord, tous verrons bien que l'histoire à toujours préféré les légendes aux hommes, et ces légendes changeront un jour le monde d'aujourd'hui.

Book of Shadows

Héritage et réflexions

Des mots traversaient mon esprit en faisant des vas et viens, la nuit je me plongeait dans d'interminables réflexion solennelles sans ne jamais trouver de bonne solution, de bonne réponse. Lorsque la lumière commença à pénétrer par les vitraux bleuté de ma chambre, un souvenir remonta alors des profondeurs de mon cortex cérébrale.

Père était debout, appuyé sur une sorte de lance incrustée de pierres précieuses. Ma vision était brouillés à cause du sang qui coulait de mon front et qui ruisselait dans mes yeux, je me tenais essoufflé, tremblant, jeune enfant... Il me lançait un regard mêlant froideur et compassion avant de me cracher ces mots au visage. "Mon fils... tu dois souffrir pour connaitre ce que moi-même et nos ancêtres t'on laissés comme trésor. Tu es Frost Osbern, fils de l'empereur du Nord et voici ton héritage." Un héritage... Certes je l'avais reçut... mais à mon tours, je me devait de le transmettre. Comment ? Je n'ai ni fils, ni fille, aucuns héritier digne de ce nom ! Comment faire ? Projeter mon esprit pour trouver un être potentiellement apte à recevoir mon enseignement... pourquoi pas. Cette personne serait considérée comme une sorte d'élu, de membre privilégier. Il faudrait donc que cette personne soit déjà investie d'une puissance magique qu'elle n'arriverait pas à maîtriser. Les recherches vont êtres longues, mais j'obtiendrais satisfaction car j'ai des alliés un peut partout de par le monde et les mers.

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Première visite à Telmar

Après de nombreux mois de recherches, mon instinct m'a guidé hors de mes terres, en la ville de Telmar. J'étais seul et affaiblit, ne voulant pas attirer l'attention, j'agissait en secret. J'avais senti la présence de différents individus à la puissance infuse. Je suivis donc une piste à l'écart de la ville, cela me mena à une magnifique demeure, certainement celle d'une noble famille. J'y fit la rencontre d'un vieil homme; je lui fis part de la raison pour laquelle je me trouvais devant son porche. Je fus presque surpris qu'il me reconnaisse, il s'inclina avec respect puis nous discutâmes de longues heures durant. Une étincelle brillait dans ses yeux, je l'avais bien remarqué, il savait que j'étais l'empereur du Nord, il l'avait lu dans les légendes. Il était trop vieux pour mon héritier, cela me décevait au plus haut point, et on le vit sur mon visage. Alors que je m'apprêtait à rebrousser chemin afin de chercher ailleurs, il me dit qu'il avait une fille, une jeune femme, Freya, et qu'elle avait des pouvoirs instables. Des pouvoirs... serais-ce elle ? Morridur m'en parla un bref instant, mais il ne m'en fallut pas plus pour savoir ce que j'avais à faire. Le vieil homme n'avait pas besoin de grand chose, de l'argent et des gri-gri magiques, assez pour être de nouveau considéré comme un noble. Je lui promis de lui offrir tout ce dont il aurais besoin et en échange je m'occuperais de l'épanouissement de sa douce enfant, je lui offrait la possibilité de s'élever spirituellement et d'entrer à son tour dans la légende.

Un mois plus tard j'envoyais Ronal chez les Nomencis, chercher celle que l'on appelle aujourd'hui mon apprentie.

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Ça a commencé

Elle est arrivée dans la nuit, je l'ai sentie lorsqu'elle à franchit les portes de ma demeure. Plongée dans un sommeil magique on me l'a amené là où j'avais dit, maintenant c'est à mon tour de remplir la part du marché. Il n'y avait pas de brume aujourd'hui, j'ai veillé à ce que son réveil ne soit pas troublé par une mauvaise vision de mes terres. Elle avait de l'espoir, mais cette espoir s'est effacé, bien que je sente encore une immense clarté enfouit en elle, une lumière vacillante, tel une flamme disparaissant dans la brise légère. Il faut que j'aille la voir, je sais qu'elle me détestera, mais c'est ainsi. Une nouvelle voie s'ouvre là où la volonté ne manque.