Sentir le vent dans mes cheveux. Les odeurs environnantes m'envahissent. Sentir mille et un regard sur moi. De mes pas le sol je tapissent. Sentir le sol froid sous mes pas. Un, deux trois, on y va. Mes pieds commençèrent à glisser lentement sur le sol. Mon bassin s'agita lentement. Les bruits de mes breloques attirent un sourire béat sur le visage des hommes de la place.Les tambours appellent mon corps à bouger de plus belle. Un coup vers la droite, un coup vers la gauche te voilà, je suis partis dans une danse sensuelle et énergique.Personne ne peut m'arrêter, personne ne peut me retenir et personne ne peut me ressister. Je suis fluide, je sais ce que je fais .Je sens le rythme dans toutes les pores de mon corps.Je m'élance près de la foule.J'effectuai plusieurs acrobaties qui attirèrent les cris de surprises de la foule. C'es si étrange.Je viens d'ici, mais personne ne semble s'être habitué de mes tours de bohémienne.Tant pis, cela me fera plus d'argent.Tournant sur moi-même, puis regardant vers le ciel, je peux voir des gens du château me regarder par la fenêtre.Je me sentis aussitôt flatter par cette attention, comme à mon habitude.puis, l'accélération du rythme m'indiqua que le numéro tira à sa fin.Dans un arabesque tournoyant parfait, je soufflai un pluie de poudre brillante puis m'arrêta rapidement puis je tta la poudre au sol qui explosa dans une fumée orangé qui virai vers le rose. Les exclamations des gens me firent sourire.Puis, on put m'apercevoir, immobile comme une statut, saluant mon publique.Une petite gamine vint à ma rencontre et m'apporta une fleur.Comme elle était gentille.Je ne pus m'empêcher de la remercier.

-Merci ma belle, dis-je, tu diras à ta maman qu'elle es tchanceuse de t'avoir comme enfant, terminais-je en lui donnant un baiser sur le front.

La petite m'enlaça, puis partit en courant. Je pouvais l'entendre répéter à sa mère mot pour mot , ce que je venais de lui dire.

*Ah les gamins!, pensais-je, tous aussi irrésistibles.

Je me levai et réalisa que les gens de ma contrée étaient beaucoup moins généreux qu'hier.Seul à Telmar les récoltes étaient bonnes.Mais bon, je devais bien m'y faire, je ne pouvais rester en place.Puis, je me tourna vers une ombre.Je l'avais remarqué dès le déut du spectacle et cette persone m'intriguais. Est-ce que je la/le connaissait?Est-ce qu'il/elle avait quelque chose à me demander.

*Après tout, ma réputation doit se rendre un peu aprtout. J'aide tout les gens dans le besoin lors de mon passage, pensais-je.

Je m'avança lentement vers l'individu.

-Sans vouloir vous offensser ou vous parraître indiscrète,, commençais-je, vous ai-je déjà rencontrer?, demandais-je. Je peux vous aider peut-être?