Après avoir étais surprise par « l'apparition » de la jeune femme, j'avais pu constater, qu'elle était dangereusement belle et je comprenais mieux pourquoi mon frère me parlait d'elle assez souvent lorsqu'elle venait sur notre île. La première chose qu'il lui avait raconté à la suite du premier repas officiel et protocolaire qu'ils avaient passé ensemble en compagnie d'autre noble des îles voisines était qu'il avait été surpri que le gouverneur et il avait insisté sur « le » et sur « gouverneur », soit en faite une femme. Face à cette réaction pour le moins matchiste, je lui avait donné une baffe à l'arrière du crâne.
Mon propre frère, qui savait combien la cause féministe été importante pour moi, avait de si vieux réflexe nous venant certainement du même monde que les Pevensie. Peu de texte ancien en parlait, mais dans ses rares ouvrages j'avais apprit que les premier humains été arrivé lorsque notre monde était encore dans l'Obscurité et qu'ils avaient assistés à la création de Narnia. Souvent petite j’essayais d'imaginer ce qui avait bien pu s'y passer et comment le Lion Aslan avait fait et aussi pourquoi. Après tout il appartenait déjà à un monde... Enfin, toutes ses questions aux quelles je n'aurais jamais de réponses me donnaient la migraine et me rendaient malade. D'un autre côté, cela me permettait de m'évader de ma prison doré et de voyager à des miles de là.
Bref ! Je reconnue la femme comme étant la gouverneur des îles solitaires grâce à la description que m'en avais fait mon frère et grâce à une peinture que j'avais vu d'elle dans un livre bien qu'elle soit plus jeune car le livre commençait à daté déjà. Je pouvais voir quelques petites emprises du temps sur son visage et surtout dans ses yeux. J'avais rarement vu des yeux d'une clarté si pur qu'on aurait pu si noyer pour peu qu'on y plonge.
Revenant à la réalité je souris poliment en lui tendant la main comme il était coutume de faire à Térébinthe, ce qui était le premier signe de respect qu'on apprenait à l'état d'enfant.
« Madame le Gouverneur, je suis ravis de faire enfin votre connaissant. »
Ma phrase d'accueil était gauche, maladroite, et je ne m'étais pas encore excusée de l'avoir suivit, aussi je reprit la parole pour le faire en marchant vers le sentier caillouteux.
« Je vous pris de bien vouloir excuser mon indiscrétion de tant tôt. Je ne voulais pas vous surprendre ou me monter cavalière, madame. »
respect, quand tu nous tiens... Je ne savais pas comment parler avec un gouverneur, en générale je fuyais le plus possible les rendez-vous officiel car ce n'étais pas vraiment mon truc, bien que pour obéir à la tradition j'étais forcé d'assisté à nombre d'entre eux. Cependant, je ne sais pas comment, j'avais toujours réussit à évité, malgré moi ceux avec Anne.