Nuit d'amour machiavélique {Amanda]

Invité Invité

Mon plan prenait de plus en plus forme. Un plan diabolique qui m'assurait crédibilité et amour du peuple de Calormen. Un plan qui m'assurait donc une prise de pouvoir complète ! J'aimais le pouvoir et ne pouvais pas me permettre de laisser un petit groupe de calormènes me le prendre sous prétexte que je manque de crédibilité et de gueule ! Non, ce qu'il me fallait, c'était avoir une femme, du moins officiellement, pour montrer à tout le monde que je pouvais avoir des sentiments envers quelqu'un et que je n'étais pas un coeur de pierre. C'était un petit obstacle mais ma grandeur en dépendait fortement. Il ne me fallait pas une petite paysanne ou Tarkheena comme avaient pour habitude de prendre pour épouse les autres Tisrocs avant moi, non.

Il me la fallait, Elle. Une femme avec du sang royal, du sang pur dans les veines. Crystal Eshbaan ! Ma soeur était la personne idéale. Si je la prenais pour épouse, je serai respecté dans toute la contrée de Calormen et le moinder rebelle n'aurait pas la force d'ouvrir sa bouche et encore moins de venir réclamer je ne sais quoi à la cour du Grand Tisroc ! Ah ah ah ... Je suis certes sadique, certes diabolique mais je suis Yoren Eshbaan, le plus Puissant de tous les Tisrocs depuis milles et unes longues années. Mais un problème se posait. J'avais banni Crystal à Narnia car elle représentait un danger potentiel pour mon ascenssion, sachant toute la vérité quant à mes actions pour prendre le trône. Elle savait que j'avais tué notre père. Et pourtant, il me la fallait !! C'était une obligation.

Voila pourquoi, j'avais mis en place ce plan cruel et machiavélique, à savoir la faire revenir à Tashbaan, à la cour royale sans qu'elle ne dise rien à personne et par dessus tout, qu'elle m'aime, qu'elle m'adore telle une femme aime son mari. Et le pire, c'est que je n'aurai même pas besoin de la droguer. La droguer serait d'ailleurs voué à l'échec. Cela se voit quand quelqu'un l'est ! Non non non, elle sera ma femme en en étant parfaitement consciente. De plus, j'ia des choses à régler avec elle et si elle ne l'est pas, ce ne serait pas drôle. Je veux la voir souffrir, comme elle m'a fait souffrir dans notre enfance. Je veux voir de la peur dans ses yeux. Je la veux ! Et elle sera à moi. Comment ? Elle viendra seule si je prends en otage sa meilleure amie, Amanda Lynn. Une belle blonde... mmh... je sens que je vais bien m'amuser.

Je l'ai ramené au château alors qu'elle était perdue à Tashbaan. Un messager l'avait "accidentellement" aiguillé dans la citée royale. Bien entendu; c'ets mon devoir de venir en aide à une jeune fille en détresse... Elle a été très naïve en acceptant mon invitation au palais. Une fois dans mon entre, elle a tout de suite été émerveillée par la richesse de ce palais. Ce serait une proie facile... A présent, elle est comme un petit toutou à mes yeux et surtout, une source de jouissance. J'aurai pu choisir d'autres personnes chères aux yeux de ma petite soeur adorée mais Amanda semblait là plus... interessante si vous voyez ce que je veux dire. Une fois dépendante, Crystal sera contrainte à revenir à Calormen pour la libérer et sera contrainte de m'obéir... La première étape, c'est pour ce soir... Quelqu'un frappe à ma porte.

- Entre Amanda, entre ma jolie...

-Je ne te dérange pas ?

Invité Invité

J'entendis Amanda, la jeune narnienne, arriver dans mon dos. Je lui dis donc d'entrer, ce qu'elle fit. J'étais toujours tourné face à ma fenêtre et regardai la nuit tomber sur mon royaume. Ma chambre était située dans la plus haute tour du palais, histoire de rappeler qui est le chef dans ce pays. Je m'élevais vers Dieu, considéré comme un envoyé du Tout Puissant par les prêtres calormènes. Les Tisrocs étaient en effet considérés comme des demi-dieux et étaient donc vénérés. D'ailleurs, à chaque fois qu'un civil mentionnait mon nom, il devait ajouter (longue vie ua Tisroc) à la fin de sa phrase. C'est la coutume ! Il y a par ailleurs d'autres coûtumes comme par exemple une fête en l'honneur du Tisroc en plein été. J'adore être Tisroc... Avoir le royaume et sa population en idolatrie rend... fort, très fort.

Je regardai les lumières de Tashbaan s'éclairer et au loin, les contrées de Telmar, à l'ouest, celle d'Archenland et complètement à l'est, les Terres de Narnia. Je n'ai jamais été en très bon rapports avec eux. Pourquoi ? Ce royaume est gouverné par quatre enfants, les Pevensie, qui ne connaissent rien au pouvoir. C'était exaspérant. J'aimais les terrifier. D'ailleurs, le peuple narnien a terriblement peur des calormènes, considérés comme barbares sans scrupules. J'ai envoyé ma soeur là bas car c'est le seul royaume où ils sont capables de la faire taire, terrifiés à l'idée de s'attirer les foudres du Tisroc et de déclencher une guerre. Je me retournai pour regarder la jeune femme originaire de Narnia et la prendre délicatement par le bras. Je lui souris et la fit approcher de la fenêtre. Je levai mon bras et lui montrai son pays, au loin.

- Vois-tu ces lumières lointaines ? Il s'agit du royaume de Narnia. Et sur la colline, là haut, le palais de Cair Paravel. Je suppose que tu connais... Tu peux aussi voir Archenland et Telmar. Dire qu'un simple désert nous sépare...

J'avais dis la dernière phrase tout bas. Je songeai bien entendu à une invension calormène. Imaginez un peu Yoren Eshbaan, maître du Monde ! Cela fait rêver non ? Et bien je suis persuadé que j'en ai l'ambition et la possibilité. Il ne manque qu'une pièce du puzzle pour acquir définitivement l'amour et la dévotion du peuple : une femme. Et cette femme, c'est Crystal. Je reportai de nouveau mon regard sur le paysage sombre de la nuit. La situation du royaume de Calormen était bien particulière. Je terrifiais les Narniens. Quant à Telmar, je ne les connais pas trop. Je pense que c'est avec Caspian que je pourrai le mieux m'entendre. Et concernant les Archenlendais, ce sont mes ennemis préférés. Des ennemis de longue date... Je me suis battu contre les deux frères il y a très longtemps. C'est le royaume le plus abordable de tous.

Je posai mon regard sur la jeune narnienne et remarquai qu'elle faisait une tête étrange. Son expression faciale marquait une certaine incompréhension. Pourquoi ? La réponse était sous mes yeux. Elle semblait absorbée par quelque chose. Je suivis son regard et constatai qu'il menait sur le dessus de mon lit. Sur le pan de mur, il y avait un tableau réalisé il y a un an environ. Il a été peint peu avant la mort de mon père, le Tisroc à cette époque. Dessus étaient peinte la famille royale à savoir mon père, avec son turban royal et une robe beige ainsi que ma mère ornée de bijoux à l'orientale ainsi qu'une couronne et pour finir, à leurs pieds, deux jeunes adolescents. Un jeune garçon, habillé comme son père avec un turban princier, plus petit et à côté de lui, une jeune fille, habillée d'une robe bleue turquoise et d'un diadème. Amanda comprit, j'en étais sûr. Un sourire sadique se dessina sur mes lèvres.

- Ce tableau t'évoque un quelconque souvenir ?

-Non…c’est impossible…ça ne peut pas être elle…

-Que veux-tu exactement ?

Invité Invité

Je souris d'un sourire machiavélique lorsque je vis qu'Amanda venait de comprendre qu'en fait, sa meilleure amie, à savoir ma chère petite soeur, lui avait menti depuis... depuis le début en fait. J'étais fier de moi aussi. Pourquoi ? Parce que Crystal avait gardé le secret de ses origines. En revanche, je ne connaissais pas ses raisons. Est ce que c'était parce qu'elle avait trop honte ou tout simplement parce qu'elle avait enfin compris que choisir mon camp serait mieux pour tout le monde, elle y comprit ? Il faut que je pense à lui poser la question lorsqu'elle sera de nouveau revenue au palais de Tashbaan avec les idées bel et bien claires ! Quoiqu'il en soit, Amanda suivait exactement mes plans. Elle serait obligée d'en vouloir à Crystal et ne verra pas le piège se refermer sur elle...

- Comment ça ce n'est pas possible ? Tu ne connais pas ma famille ? Voici l'ancien Tisroc, mon père, Abel Eshbaan. A côté de lui, ma mère, Keira Eshbaan. Tu m'auras reconnu, aux pieds de mon père, et la jeune fille juste à mes côtés, c'est ma petite soeur, Crystal Eshbaan.

Amanda me demanda alors ce que je voulais. Je souris. Finalement, cette petite narnienne n'était si idiote qu'elle n'en avait l'air ! Peut être pas idiote mais bien naïve... Enfin, le bon côté des choses c'est que si elle ne comprend pas ma combine, eh bien je pourrai me permettre de verser un peu moins de drogue dans son verre donc je n'aurai pas l'impression de faire l'amour à un cadavre... Prendre du plaisir de chaque côté est tout de même plus intéressant que l'inverse non ? Cependant, je me devais de prendre quelques précautions. Je m'avançai vers une commode en bois et en tirai deux coupes de champagne en cristal. J'y versai du liquide et profitai d'un moment d'inattention de la part de la jeune fille pour y déverser une drogue à faible dose, histoire de lui brouiller les idées. Je la lui tendis.

- Tu me demande ce que je veux... tu n'en a pas la moindre idée ?

Je ne lui faisais pas face, cette dernière étant face à la fenêtre. Je m'approchai d'elle et posai délicatement mes mains sur ses épaules. Je vis son regard qui se reflétait sur la vitre de ma chambre. Elle ne semblait pas contre cette éventualité apparemment... Vêtue d'une simple robe à bretelles, je lui enlevai avec une douceur inouïe une de ses bretelles puis caressai son bras délicatement. Amanda avait une peau très douce, telle de la soie. Arrivé à sa main droite, je remontai son bras pour m'occuper de l'autre côté. Ma main se déposa sur sa bretelle gauche pour l'enlever, tout en finesse. Je souris, constatant que la jeune narnienne fermait les yeux. Je pris les deux coupes de champagne et demandai d'un ton charmeur

- Une petite coupe de champagne ma belle ?

Elle acquiesça. La voir boire ce liquide m'arracha un sourire. J'aurai voulu qu'elle termine son verre mais la tentation était trop forte. Je ne pouvais pas attendre de... Je posai mon verre sur une table puis m'avançai de nouveau vers elle pour poser mes mains sur ses joues pour descendre jusqu'à sa poitrine, palper légèrement ses seins, dessiner les courbes de ses hanches. Arrivés à ce niveau là, je la soulevai délicatement et la transportai sur mon lit. Ainsi allongée, j'en fis de même sur elle. Nos regards firent un échange puis je me penchai au creux de son oreille pour lui murmurer

- Prête pour une nuit de rêve ma... délicieuse ?

Voyant qu'un sourire se dessinait sur ces lèvres, je pris ça pour un oui et commençai par mordiller le lobe de son oreille. Je posai alors mes lèvres sur son cou et sa nuque. Je savais comment faire frissonner une femme... Je savais comment lui faire l'amour pour qu'elle atteigne l'extase. Nous étions encore vêtus mais je sentais que la température montait peu à peu. Mes lèvres montèrent jusqu'à l'extrémité de son visage pour lécher de la pointe de ma langue son menton et arriver enfin à sa bouche. Je sentis un spasme remuer mon corps. Nos lèvres de scellèrent...

-En effet…mais je pense que je ne vais pas tarder à le savoir !

-Merci.

-Tu me désires tant que ça ?

Invité Invité

J'étais à demi allongé sur le lit, Amanda me déboutonnant la chemise. Je souris d'un air satisfait. Elle n'était pas aussi dure à cuire qu'elle n'en n'avait l'air cette jeune femme finalement ! Mais j'aimais bien que l'on me résiste... Dommage qu'il n'y ai pas plus de piment dans cet enchainement d'actions plus douteuses les unes que les autres. Peut être avais-je un peu forcé sur la drogue ? Mais non, il fallait ce qu'il fallait ! Il ne manquerait plus qu'elle ne s'enfuie du palais à moitié nue ! Ce serait me faire une très mauvaise impression ainsi que compromettre tous mes plans. Je ne pouvais pas me permettre de prendre ce risque. Si je voulais que mon plan aboutisse et gagner l'amour et la vénération des calormènes, je me devais de faire réussir ce plan. J'y étais presque...

- Ne me désires-tu pas ?

Je sentis ses mains bouillonnantes se poser sur mon torse bombé et musclé. Paradoxalement, je ne voulais pas aller trop vite. Chaque chose en son temps ma jolie jolie... Elle semblait bien pressée ! Je me laissai porter par son rythme soutenu, aussi impatient qu'elle de découvrir son corps de rêve. Je posai mes mains sur ses hanches puis relevai sa jupe. Une culotte rouge bordeaux cachait encore son intimité. Mais plus pour longtemps, non non... Je me débarrassai de ma chemise et la jettai quelque part dans la chambre, je ne sais pas où exactement. A vrai dire, c'est la dernière chose à laquelle je m'intéresse pour le moment ! Je remarquai que la jeune femme voulu enlever elle même sa culotte, sans doute dans la précipitation. Mais je la plaquai sur le lit de telle sorte qu'elle ne parvienne pas à l'enlever. J'atteignis ses lèvres puis lui murmurai

- Ne vous donnez pas la peine chère demoiselle, je vais vous aider.

Joignant le geste à la parole, je passai ma main le long de son corps, longeant ses hanches, atteignant ses cuisses pour engouffrer mes doigts indiscrets au dessous de ce tissus rouge. Je sentis alors son intimité. Délicatement, je la caressai je baladai ma main sur sa peau puis, voyant que ma chère hôte éprouvait un certain plaisir à ces caresses quelque peu indiscrètes, je décidai de passer à quelque chose de plus concrès. Mes doigts se rapprochèrent de plus en plus de son intimité pour s'y engouffrer. Je n'avais introduit que mon index, trouvant que c'était assez suffisant. Je faisais donc des va et viens avec mes doigts. Tout ceci était bien beau, j'étais heureux de constater que je faisais du bien à Amanda mais j'en voulais moi aussi.

J'enlevai la culotte de la jeune femme et soulevai sa jupe. Je plaquai le bas de mon ventre contre son sexe puis remontai peu à peu jusqu'à ce que mes mains parviennent à enlever le haut de la robe d'Amanda. Je n'avais pas enlevé cette robe, simplement baissée de telle sorte que la robe ne cache plus que son ventre. Car à présent, s'offraient à moi une très belle poitrine. Je suçai cette paire de seins puis mordillai le bout de ses tétons. Pour rendre la chose un poil plus pétillante, je frôlai "l'entre ses cuisses " avec mon bas du ventre. Je sentis alors une petite main se balader dans mon pantalon. J'y plongeai alors la mienne pour dégager celle de la jeune narnienne. Je la baisai puis la laissai filer. Ces contacts eurent pour conséquences de déclencher en moi d'importants frissons. Mon sexe se durcit...

-Plûtot difficile le petit,

Mais tu ne pourras pas me résister !

-Je me ferai un plaisir de faire d'autres chose pour vous,

mais je ne sais pas ce que vous voulez !

Contenu sponsorisé